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Découvrez tous les textes qui vous feront connaître les principes d’une société libre en fonction de VOS envies.
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Essai sur les limites de l’action de l’État (1792)
Définir les parts différentes qui reviennent à la nation ou à quelques-uns de ses membres dans le gouvernement ; distinguer les diverses branches de l’administration comme il faut ; prendre les dispositions nécessaires pour qu’une partie des membres ne s’accaparent pas les droits de l’autre partie : voilà ce qui a exclusivement occupé presque tous ceux qui ont soit eux-mêmes
Le Gouvernement omnipotent (1944)
En traitant les problèmes de politique sociale et économique, les sciences sociales ne considèrent qu’une question : savoir si les mesures proposées sont de nature à provoquer les effets cherchés par leurs auteurs ou si elles aboutissent à un état de choses qui — du point de vue de leurs défenseurs — est beaucoup plus indésirable que l’état précédent qu’elles
De la démocratie en Amérique (1835)
Théoricien du libéralisme, Tocquevlle montre dans De la démocratie en Amérique comment la démocratie s'est accompagnée des progrès de l'individualisme. Cependant, les droits individuels une fois proclamés et reconnus, ce goût pour la liberté s'est corrompu en passion pour l'égalité, favorisant la diffusion d'un esprit majoritaire et conformiste.
L’État (1848)
« L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. Car, aujourd’hui comme autrefois, chacun, un peu plus, un peu moins, voudrait bien profiter du travail d’autrui. »
Sophismes économiques (1846)
Démystifiant le " sisyphisme " des politiques de l’emploi et la spoliation légale qu’elles induisent, Bastiat démontre que ce sont les pays et les catégories sociales les moins favorisés qui gagnent le plus à la liberté des échanges. Aussi, le lecteur d’aujourd’hui ne trouvera pas d’argumentaire plus essentiel contre le dernier avatar du protectionnisme, “ l’altermondialisme ”, que les Sophismes
Lettre d’un négociant sur la liberté du commerce des grains (1763)
Économiste méconnu, malgré son adhésion à l’école physiocratique de François Quesnay, Louis-Paul Abeille fut l’un des plus ardents et des plus talentueux défenseurs du « laissez-faire » de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Dans cette courte brochure, publiée en 1763, il se fonde sur le constat presque « smithien » que l’intérêt est « l’unique moteur des Commerçants étrangers
Principes sur la liberté du commerce des grains (1768)
Ce livre est un plaidoyer en faveur du commerce libre, écrit à une période où le commerce des grains, en particulier, restait l’objet des réglementations et des prohibitions les plus vexantes et les plus rigoureuses. Composé dans un style clair, ce livre contient aussi nombre d’observations d’une grande actualité sur les défauts de l’intervention de l’Etat dans l’économie ou le
Cobden et la Ligue ou l’agitation anglaise pour la liberté des échanges (1845)
L’année 1838 fut, en Angleterre, une année de crise. Le prix du blé, aliment de première nécessité, progressa de manière inquiétante, sur fond de pauvreté et de chômage pour une large partie des classes laborieuses. C’est alors qu’un groupe d’hommes éminents s’unirent autour de Richard Cobden, afin de lutter contre la cause réelle de ces déboires économiques : la loi-céréale (corn-law).
Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas (1850)
Entre un mauvais et un bon Économiste, voici toute la différence : l’un s’en tient à l’effet visible ; l’autre tient compte et de l’effet qu’on voit et de ceux qu’il faut prévoir. Mais cette différence est énorme, car il arrive presque toujours que, lorsque la conséquence immédiate est favorable, les conséquences ultérieures sont funestes, et vice versa. – D’où il
Histoire d’une pièce de cinq francs et d’une feuille de papier (1909)
Dans cet ouvrage, Frédéric Passy revient sur le rôle de la monnaie. Il exprime son scepticisme à l'égard du papier-monnaie dont la valeur et l'utilité est selon lui plus qu'incertaine.